-
MAYSUN BINT BAHDAL AL-KALBIYYA*
Une demeure où le vent s'agite
M'est plus chère qu'un château élevé.
Un modeste manteau dont je me drape
Me sied plus que des habits de lin.
Je préfère le murmure du vent
Au son du tambourin.
La vie fruste à la campagne
Plaît à mon âme plus que le style gandin.
A ma patrie je ne veux guère de substitut,
Qu'elle soit honnête me suffit.
-
Commentaires